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Dernières nouvelles

Après l'élection d'AngeNoire à l'administration, on souhaite la bienvenue à November et Nezhayang parmi nos Community managers !

Vous voulez trouver toutes nos plateformes, ou vous êtes curieux de savoir quels médias parlent de CFTC ? Tout est sur notre Linktree !

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CFTC débarque sur Reddit ! N'oubliez pas que si vous voulez contribuer à nos créations de contenus, ça se passe sur Discord !

Le Pèlerin


Temps approximatif de lecture : 6 minutes


Une bonne partie du pays de Caux longe la Manche. Ayant grandi dans une famille de pêcheurs, je l’ai parcouru de long en large. Les plages qu’on y trouve sont principalement des plages de galets surplombées de falaises, il n’est donc pas rare d’y trouver de gros blocs de craie, tombés au sol. D’autant que le climat n’est pas clément : le ciel est toujours nuageux et les rafales de vent manquent quelquefois de faire s’envoler les enfants. Ce n’est pas un lieu idéal pour bouquiner. 


Faut-il fermer CFTC ?

Bonsoir à toutes et à tous, c'est Magnosa qui vous parle. Je viens avec une question assez simple que vous avez déjà lue dans le titre, donc je vais la développer un poil plus : faut-il fermer CFTC, c'est-à-dire cesser complètement les publications sur les blogs et les réseaux sociaux ?

Je vais être franc, je suis contre, et je sais déjà que quelques personnes avec qui je travaille le seront aussi. Cependant, plusieurs choses m'amènent à poser la question :

- la baisse de fréquentation des blogs (environ 1150 par semaine aujourd'hui contre environ 1450 en début d'année, sachant que nous étions en 2021 autour de 1600 par semaine) ;
- la diminution des retours du public, que ce soit dans les commentaires ou dans les sondages ;
- la généralisation du modèle de nouvel arrivant dans la communauté qui dit être intéressé pour participer, parle un ou deux jours et disparaît ensuite progressivement parce qu'il n'a jamais le temps ;
- et enfin l'insatisfaction dans les quelques commentaires qui subsistent, qui me font toutefois un peu m'interroger puisque, d'une publication à l'autre, on passe de "super génial cette nouvelle pasta" à "je suis dégoûté du nivellement par le bas ces derniers mois sur CFTC, elles sont de plus en plus nulles".

Nous sommes plusieurs dans l'équipe, moi le premier, à devoir composer avec des horaires de travail ou d'études très prenantes, ce qui fait que, plus que jamais, CFTC ne peut qu'être communautaire, car nous ne sommes pas rémunérés un seul centime pour ce que nous faisons. Tout ce que vous voyez sur nos plateformes depuis 12 ans a toujours été fait sur notre temps libre, parce que nous apprécions ça et parce que nous partagions cela avec un nombre suffisant d'autres personnes pour que les choses se passent bien.
 
Cependant, aujourd'hui, le nombre de personnes proposant des créations se fait de plus en plus rare (bien que le nombre de personnes disant qu'elles veulent proposer leur création mais ne le font jamais n'a, lui, pas baissé). Nous avons toujours la possibilité de traduire, mais cela nous rend tributaires des créations étrangères, avec les problèmes que cela implique pour la qualité des publications (parce qu'une bonne traduction est une traduction fidèle, même si l'original est un peu nul).

Donc, entre la quasi disparition des interactions avec les personnes pour qui nous écrivons et la baisse d'implication de la communauté autour du projet, je me demande si CFTC est toujours viable. Même si j'ai personnellement envie que ça continue, un staff de 10 personnes comme actuellement ne peut pas du tout s'en sortir seul pour proposer 8 publications originales par mois (alors ne parlons même pas d'une ou deux personnes). Il y a bien la solution de baisser la cadence pour que nous puissions passer moins de temps aux tâches de gestion et plus de temps aux tâches de création, mais cela signifie inévitablement que cela transformerait le projet en quelque chose de plus en plus lié aux personnes faisant partie du staff, bref, à la fin de CFTC tel que nous le connaissons depuis sa création. Et peut-être que notre public s'est lassé et ne souhaite pas que cela parte dans quelque direction que ce soit, après tout.

Voilà, ce sont quelques pensées que j'avais envie de partager avec vous. Évidemment, comme je pose une question, j'attends des réponses, alors voici un sondage classique, mais très simple : https://forms.gle/UbSHPKzJ1WKAREUo9. Il y a une option oui, une option non, et un espace de commentaire libre. Il ne me semble pas utile de faire durer éternellement la consultation, donc elle ne sera ouverte que de ce soir à dimanche prochain, même heure. Elle sera également ouverte sur les réseaux sociaux. Je vous souhaite donc une bonne soirée, et à très vite.

Spotlight : L'étranger du train


Temps approximatif de lecture : 11 minutes.

Mon nom est Andrew Erics. J'ai vécu, autrefois, dans une ville appelée New York. Ma mère s'appelle Terrie Erics. Elle est dans l'annuaire. Si vous connaissez la ville, et que vous lisez ceci, trouvez-la. Ne lui montrez pas ça, mais dites-lui que je l'aime, et que j'essaye de rentrer à la maison. S'il vous plaît.  

Tout a commencé quand j'ai décidé, vers l'époque où j'approchais de mes 25 ans, qu'il était temps pour moi d'arrêter de prendre mon sac à dos pour aller au travail. Je pensais que ça me ferait paraître plus mature, si je ne me trimbalais pas partout avec un sac de livres comme un lycéen. Bien sûr, cela signifiait que j'allais aussi devoir renoncer à lire dans le métro le matin et l'après-midi,  puisque je ne pouvais pas réellement glisser mes livres de poche dans une poche. Une mallette aurait été inappropriée, car je travaillais dans une usine, et les sacoches m'ont toujours paru un peu trop, je ne sais pas, stupides. Trop sacs à main à mon goût. 

On a aperçu Virginia


Temps approximatif de lecture : 8 minutes.


L’orage grondait au-dessus de Redcrik, petite ville de 3000 habitants. Sur l’horizon, des éclairs déchiraient l’obscurité du manteau noir. Pressant le pas et remontant le sentier à rebours, Sarah et Adrien se dirigeaient vers le parking, à l’entrée ouest de la forêt de Pâle Ruisseau. 


Après une bonne après-midi à s’aimer sur le tapis plus ou moins confortable des feuilles et autres branches mortes, le couple avait hâte de rentrer à son appartement et de dîner devant une bonne série télé.


À travers les branches nues, la lueur des réverbères du parking s'annonça. Ils s’y précipitèrent en courant : 


Sondage mensuel : publications de septembre

Chères lectrices, chers lecteurs de CFTC, il est temps de ressusciter les sondages mensuels sur vos publications préférées, et la question du mois en passant ! Comme vous vous en rappellerez si vous y participiez déjà l'année dernière, il vous suffit donc de suivre le lien https://forms.gle/rpFscPSBsuMmaTT59 afin de sélectionner la publication que vous avez préférée sur Creepypasta from the Crypt ainsi que sur le Nécronomorial. La question du mois concerne les équipes officielles de CFTC qui, vous le savez si vous nous suivez sur les réseaux sociaux, recrutent. Vous disposez également d'un espace de commentaire libre pour nous envoyer les messages que vous souhaitez. Les résultats du sondage seront publiés le 1er novembre. 
Par ailleurs, pour ceux qui souhaiteraient fêter Halloween avec nous, une grande animation va être lancée sur notre serveur Discord, inspirée librement du principe des Loups-garous de Thiercelieux. Nos illustrateurs Kitsune et Niklaus ont à cette occasion réalisé une affiche de communication qui va être publiée sur les réseaux sociaux. N'hésitez pas à nous rejoindre pour y participer ! 
 
 
Merci de nous suivre depuis très bientôt 12 ans !

Les chroniques de Stellae - Le Fief Blanc


Temps approximatif de lecture : 11 minutes. 

Très chère Amélia,

Comme vous l'apprîtes certainement, lorsque sonna la fin de la guerre pour le contrôle des terres gelées situées au nord-ouest de la capitale, et ce suite à un compromis proposé aux locaux par l'empereur, les troupes furent retirées de la région, et rentrèrent à Castel d'Or, un goût amer dans la bouche malgré leur victoire partielle.

J'aime la nuit


Temps approximatif de lecture : 4 minutes.


J'aime la nuit. C'est le seul moment calme dans ma ville : personne pour me hurler dessus sans raison valable, et aucune manifestation du klaxon stressé des mecs qui vont au travail. Le calme presque absolu. C'est pour ces raisons que j'aime sortir la nuit, dans la pénombre à peine amoindrie par les faibles lumières des lampadaires. 


Ya-Te-Veo


Temps approximatif de lecture : 3 minutes. 

Vous ne le verrez que lorsqu'il sera trop tard. Dans n'importe quelle forêt, n'importe quel bois, n'importe quel parc... Partout où un arbre peut pousser, il y a une chance qu'il soit là lui aussi.

Il s'intègre parfaitement, s'accorde avec n'importe quel type de flore qui l'entourerait. L'environnement n'a aucune importance, car quel que soit le niveau d'ensoleillement et d'eau, cela fait peu de différence pour cette chose. La chair et le sang sont les seuls apparats dont elle a besoin. 

Déchronologies Estivales : Sa dernière cicatrice


Temps approximatif de lecture : 2 minutes. 

Lorsque le fils de Sarah est né, il avait plus de cicatrices que de peau. Ce nouveau né, encore rose, était caché sous de dures lignes argentées semblant le traverser de part et d’autre de lui-même. Les docteurs n’avaient pas d’explications. « Probablement une rare affection cutanée, mais ça parait assez inoffensif. Nous allons garder un œil sur lui au fur et à mesure de sa croissance. » 

Déchronologies Estivales : Lettre de Samuel à sa mère


Temps approximatif de lecture : 3 minutes. 

Normandie, 5 Juin 1944.

Ma chère mère,

Voilà 6 mois que nous restons cachés dans cet endroit, cette cave. La famille qui nous héberge est composée de braves gens, ils prennent énormément de risques pour nous. Je n'ose même pas imaginer ce que les nazis leur feraient s'ils découvraient qu'ils nous ont aidés...
Que deviendrait la petite Sophie, qui nous apporte chaque jour à manger, avec un grand sourire sur le visage?
"Vous sortirez bientôt, c'est promis !". 
C'est ce qu'elle nous disait, tous les jours... Mais le temps passe, et nous sommes toujours cachés dans cette pièce sombre et humide, avec une radio comme seul divertissement. C'est mieux que rien, cela dit.

Déchronologies Estivales : edilasyrhc aL


Temps approximatif de lecture: 16 minutes. 

Ma première rencontre avec le paranormal eut lieu de façon inattendue un lundi d’été 1982. J’étais alors professeur assistant à l’université de Géorgie à Athens ; j’enseignais l’allergologie depuis trois ans, après avoir passé mon doctorat avec brio. J’avais pu me faire quelques amis parmi les nombreux professeurs et collègues arpentant le campus et parmi eux, il y avait Charles Hartley. Un insupportable beau-parleur incapable de modération quand il s’agissait de se vanter de ses exploits universitaires, mon aîné de plus de vingt ans. Il avait fondé et assisté à la création de plusieurs clubs et associations du campus : c’était une figure connue et assez emblématique. Populaire donc, et toléré pour cela : en effet, ses recherches, elles, étaient plus nébuleuses. Titulaire de diplômes en immunologie et en endocrinologie, il était un chercheur dispersé, dur à suivre dans ses expériences et autres hypothèses. Cependant, il donnait ses cours avec une régularité admirable, conservant sans mal son statut de professeur-chercheur.

Déchronologies Estivales : Superprédateur


Temps approximatif de lecture : 3 minutes. 

Les grands requins blancs rôdant sur le rivage de la côte atlantique furent certainement ce qui suscita le plus de crainte. Personne n'avait jamais vu quelque chose de ce genre. Des témoignages avaient rapidement fait surface, des gens ayant aperçu un groupe de deux ou trois douzaines de requins blancs adultes nageant à l’unisson à quelques mètres des plages. Comme de grands robots en cuir blanc et aux yeux sombres nageotant en cercle. Un esprit de ruche totalement différent de tout comportement observé auparavant chez ce superprédateur. Et nous réalisâmes rapidement que ça ne se limitait pas à la côte Est.

Déchronologies Estivales : NoEnd House


Temps approximatif de lecture : 26 minutes. 

Pour commencer, je me dois de préciser que Peter Terry était addict à l'héroïne.

Nous étions amis à l'université, et nous avons continué de nous voir après que j'ai eu mon diplôme. J'insiste sur le "je". Il a abandonné la fac après deux années passées de justesse. Après avoir quitté ma chambre du campus pour un petit appartement, je n’ai plus vu Peter autant qu'avant. Nous parlions par messagerie de temps en temps (AIM était roi à l'époque, avant que Facebook s'implante). Il y a eu une période où il n’a plus été en ligne pendant cinq semaines d’affilée, mais je ne m'en inquiétais pas. Toxico qu'il était, il était connu pour se ficher un peu de tout, je supposais qu'il m'avait oublié. Puis, une nuit, je l’ai vu se connecter. Il m’a envoyé un message avant que je puisse lancer la conversation.

« David, mon vieux, il faut qu’on parle. »

Soyez toujours gentil avec vos voisins


Temps approximatif de lecture : 4 minutes. 

Lorsque quelqu'un vous pose des questions sur l’habitation de vos rêves, que répondez-vous ? Il peut s'agir d'un appartement dans une ville peuplée, d'une grande ferme à la campagne ou (si vous êtes comme moi) d’une confortable maison de banlieue entourée d’une jolie clôture.

Mon époux et moi avons emménagé dans la maison de nos rêves il y a environ 5 ans. Elle était située dans une petite ville, une de ces banlieues où tout le monde se connaît et où personne ne pense à fermer sa porte à clef. C’était à environ 30 minutes de route d’une grande ville. Nous pensions avoir trouvé l’endroit parfait, mais nous nous étions trompés.

Vous voyez, le problème avec les gens, c’est qu'on ne les connaît jamais suffisamment. Il est courant dans ce genre de quartier (et partout dans le monde à dire vrai) de rencontrer des personnes qui semblent être les humains les plus gentils et les plus normaux de la planète, mais qui en réalité sont de véritables monstres une fois leur porte fermée. En général, ce n’est rien de plus quun souci d’alcoolisme ou une consommation de drogue, une liaison secrète ou même une maltraitance domestique… Même Jeffrey Dahmer semblait être un type bien et nous savons tous quels cadavres se trouvaient dans son placard (et son frigo).

Tout a commencé il y a quelques mois, lorsque notre nouveau voisin est arrivé. Il restait toujours seul. Il ne parlait à personne mis à part aux occasionnels visiteurs qui venaient d’autres villes pour le voir. Il a été l’élément déclencheur de nombreuses rumeurs. J'avais entendu dire des autres voisins qu'il était un trafiquant de drogue, qu'il avait fait plusieurs séjours en prison ou encore qu’il avait été rejeté par sa famille pour avoir touché son neveu ou sa nièce mais qu'il n'avait pas été dénoncé à la police. Il était très calme et sympathique, quoiqu’un peu effrayant parfois, mais il me semblait être quelqu’un de correct. Apparemment, j’ai été idiote.

Il y a quelques semaines, ma sœur quittait notre domicile tard dans la nuit lorsqu'elle a remarqué que le plafonnier de sa voiture était allumé. Quelqu'un venait visiblement d’en sortir. Elle est rapidement retournée à l'intérieur et a alerté mon mari qui l'a ensuite accompagnée dehors et a jeté un coup d'œil pour voir s'il pouvait trouver le malfrat. Ils ont entendu des bruits de pas sur le porche du voisin, mais n'ont vu personne. Mon époux a décidé d’appeler pour voir si quelqu’un était là mais n’a reçu aucune réponse, pas même un écho. Le lendemain, il a parlé à un autre voisin de l'incident pour l'avertir et lui dire de fermer sa voiture à clef la nuit. Ce voisin a dit à mon mari qu'il avait repéré quelqu'un dans les buissons en face de sa maison deux semaines auparavant et l'avait poursuivi jusqu'à l’habitation voisine de la nôtre avant de perdre l’intrus de vue. Quelques jours après la course poursuite, quelqu'un a cassé une fenêtre chez lui en essayant d'entrer par effraction pendant la nuit. Tout le quartier était complètement paniqué et nous pensions tous que le nouveau était coupable de ces crimes, mais nous n'avions aucune preuve. Personne n'avait pu voir le visage du criminel lorsqu’il avait été poursuivi par le voisin, personne ne pouvait dire s'il avait été jusqu'à cette maison parce qu’il y habitait ou si cette personne en fuite s'était simplement cachée sous le porche ou bien dans la cour.

La police locale a accepté de patrouiller dans notre secteur et les choses se sont calmées pendant un certain temps. C'est-à-dire jusqu'au week-end dernier.

Samedi soir vers minuit, j’ai entendu ce qui ressemblait à des outils. Ayant à proximité une famille en train de rénover sa maison, j’ai supposé qu'ils terminaient quelques travaux avant d’aller dormir ou quelque chose comme ça. Je ne m'en suis vraiment soucié que 45 minutes plus tard, quand j'ai vu des gyrophares à travers ma fenêtre. Je suis sortie pour aller voir et il y avait trois voitures de police, une ambulance et une petite foule qui se rassemblait devant la maison d'à côté. Pour une fois, personne ne semblait connaître le pourquoi du comment. La seule information que j'ai pu recueillir était qu'une vieille dame qui habitait plus bas avait appelé la police pour se plaindre lorsque le bruit des outils l'avait réveillée. Je me tenais au milieu de la foule depuis environ cinq minutes quand les policiers sont sortis pour nous éloigner de la maison et délimiter la zone avec du scotch de scène de crime. Peu de temps après, une camionnette de médecin légiste est arrivée. Ce n'est que le lendemain que nous avons enfin pris connaissance de toute l'histoire.

Deux agents avaient répondu à l’appel de la vieille dame par rapport au bruit. Ils pouvaient entendre les outils depuis l’extérieur mais personne ne répondait à la porte lorsqu'ils ont frappé. Un des deux agents a regardé par la fenêtre et a remarqué du sang sur le sol du salon. Ils ont appelé des renforts avant d’entrer de force dans la maison. Le nouveau voisin avait tuée une femme, l'avait traînée dans son sous-sol et utilisait une scie électrique pour découper son cadavre. Lorsque la police est entrée, il a paniqué et a utilisé la scie pour mettre fin à ses jours. Apparemment, il s'est presque entièrement décapité. Aussi horribles que soient les détails de cet acte odieux, le meurtre-suicide n'est pas la chose qui a causé le plus d’agitation dans notre petite communauté. Il y avait visiblement une grande carte de la ville qu’il avait dessinée à la main et accrochée dans son sous-sol. Chaque maison était représentée par un carré et à l’intérieur de chaque carré il y avait des notes : combien de personnes vivaient dans la maison, si elles avaient ou non des chiens, le meilleur horaire et le meilleur passage pour entrer sans être repéré. Il y avait aussi une pile de photos sur une table près de la carte. Il avait pris des photos de toutes les maisons de notre rue, certaines la nuit et d'autres le jour, certaines de l'extérieur… Et d’autres de l’intérieur. 

Ce texte a initialement été réalisé par Christine Druga sur Creepypasta.com, et constitue sa propriété. Toute réutilisation, à des fins commerciales ou non, est proscrite sans son accord. Vous pouvez tenter de le contacter via le lien de sa création. L'équipe du Nécronomorial remercie également Naveen qui a assuré sa traduction de l'anglais vers le français à partir de l'originale, AngeNoire et Orizy qui ont participé au processus d'analyse et de sélection conformément à la ligne éditoriale, et Antinotice et Litanie qui se sont chargés de la correction et la mise en forme. 

L'Autre Réseau


Temps approximatif de lecture : 7 minutes. 

Depuis un moment déjà, de nombreuses rumeurs circulent à propos du Réseau. Mais je crois être la première personne à réellement avoir enquêté sur son sujet. Je suis sans aucun doute le premier à partager le résultat de mes recherches. Je ne vais pas vous faire avaler tout ça en exagérant les choses. Je ne vais pas non plus vous dire tout ce que j’ai pu voir. Je n'ai pas l'intention de répondre à d'éventuels messages, mais je vais donner quelques instructions pour ceux que ça intéresse. 

Je ne sais pas si vous êtes déjà allé au nord du Pays de Galles. Il y a de nombreuses montagnes et vallées, quelques rares grandes villes. Là-bas, on trouve principalement des hameaux de campagne. Je suis allé voir à plusieurs reprises un ami vivant à Bangor, de ce fait je connaissais le chemin jusqu’à la côte. Arrivé là-bas, il suffisait de se rendre vers le sud en passant à travers les contreforts du Mont Snowdon.

Sombre brouillard


Temps approximatif de lecture : 1 minute. 

Depuis longtemps elle hante mes nuits.

Elle que mes insomnies me rappellent,

Qui s'offre toujours à moi sans bruit.

Apathiques, mes soupirs sont semblables à son appel.

Les dangers des rencontres


Temps approximatif de lecture : 5 minutes.


Quand on est adulte, les rencontres deviennent quelque chose de compliqué. La seule façon de se faire de nouvelles connaissances est soit d'aller sur internet, soit de se rendre dans un bar, et l'idée d'essayer d'entamer une relation avec quelqu'un que j'aurais rencontré via l'un ou l'autre de ces biais me mettait mal à l'aise. À 28 ans, comme aucune de mes amies ou collègues célibataires ne m'intéressait sur le plan romantique, je me suis dit que j'étais condamné à être célibataire pour le reste de ma vie.


Mais ensuite, je l'ai rencontrée. 


La charge des morts-vivants

Temps approximatif de lecture : 3 minutes.


La forteresse était un vieux château datant du Moyen Âge. Un bastion imprenable, si bien que cela faisait deux jours que des soldats s’amassaient dans la tranchée face au fort. Des travaux de renforcement avaient été entrepris pour consolider les défenses, mais deux ou trois explosifs au pied des murailles auraient suffi à les faire tomber. Et si ce fort tombait, c’est la nation qui s’effondrait. La tension était ainsi de plus en plus palpable. De temps à autre, on voyait brièvement sortir des abris des périscopes qui scrutaient sans relâche leurs ennemis. Parfois, des coups de feu brisaient le silence du champ de bataille. Alors chacun se jetait sur son fusil, craignant qu’une attaque ait été ordonnée.

Sondage : l'horreur sur les réseaux sociaux et vous

Chers membres de la Crypte ! Comme vous aurez pu le constater si vous nous suivez sur Twitter, Facebook, Instagram ou que vous avez rejoint notre serveur Discord (si ce n'est pas fait, vous pouvez les rejoindre en cliquant sur les jolies petites icones dans la barre latérale droite du blog en version web, si vous êtes sur téléphone vous pouvez en forcer l'affichage en ouvrant les options de votre navigateur en haut à droite à côté de l'URL), nous sommes en train de moderniser notre fonctionnement et nos plateformes. Pour nous aider dans la partie qui concerne les réseaux sociaux, nous avons réalisé un petit sondage qui prend moins de deux minutes à remplir afin de mieux comprendre comment vous consommez des contenus d'horreur sur les réseaux sociaux en général. Vous pouvez y répondre en cliquant ici.

Nous souhaitons en utiliser les résultats afin de repenser la manière dont nous y publions, mais aussi éventuellement la liste des plateformes sur lesquelles nous diffusons du contenu. Nous l'avons également envoyé aux communautés de nos partenaires sur YouTube et à d'autres communautés horrifiques afin d'avoir une vision aussi globale que possible. Cela signifie que si vous connaissez d'autres personnes qui aiment les contenus horrifiques, vous pouvez aussi leur partager le lien du sondage (et bien sûr y adjoindre le lien des blogs et de nos réseaux sociaux en passant). Nous publierons probablement les résultats avec nos analyses une fois que nous aurons assez de réponses, et nous en profiterons pour lancer les nouveaux projets de CFTC que nous sommes en train de vous concocter sur le salon #général-équipes du serveur Discord, je n'en dis pas plus. Nous remercions tous ceux qui participeront, car c'est grâce à vos retours que nous savons si notre contenu vous plaît toujours et que nous pouvons continuellement vous améliorer pour continuer à vous donner de beaux cauchemars !


NOR 8 - Les autres passagers


Temps approximatif de lecture : 10 minutes

« Madame, Monsieur, bonjour ! Mon nom est Marie, votre cheffe de cabine. Le commandant de bord, Monsieur Coulon, et l'ensemble de l'équipage ont le plaisir de vous accueillir à bord de cet Airbus 330. Nous nous assurons de votre sécurité et de votre confort durant ce vol. Veuillez attacher et ajuster votre ceinture de sécurité. Nous vous souhaitons un très bon voyage. »

Mon groupe de soutien préféré


Temps approximatif de lecture : 2 minutes.

Je suis le premier à l'admettre : je suis un bel enfoiré. Et très paresseux, par-dessus le marché. J’étais juste là-bas pour voir qui était l’idiot, parce qu'il y a TOUJOURS un idiot.

Mon pire ami


Temps approximatif de lecture : 15 minutes.

Connaissez-vous cette sensation étrange que je m'apprête à vous décrire ? Je ne doute pas que cela en fera tiquer plus d'un. C'est un ressenti assez courant, surtout de nos jours. Quand on se sent mal sans vraiment savoir pourquoi, quand on ressent l’envie de voir des gens autant que celle de les fuir, quand écouter nos morceaux de musique préférés ne produit plus le même effet euphorisant, quand tenir une conversation nous paraît aussi éreintant que de se lever d'une chaise avec quarante de fièvre, quand on appréhende toujours les choses, se focalisant systématiquement sur la pire issue possible aux moindres événements et interactions avec ce qui nous entoure.

Bonne nuit mon trésor


Temps approximatif de lecture : 3 minutes. 

Mon fils a deux ans et ne. dort. pas.

Donc, quand j’ai vu une annonce sur Internet pour "Bonne nuit mon trésor : le seul livre qui GARANTIT d'endormir votre enfant", j’ai cliqué. J’étais sceptique, mais il y avait une vidéo de démonstration sur le site Internet.

« Je vais vous montrer comment ça marche. Tout de suite, j’ai un enfant dans son lit. »

Silence radio


Temps approximatif de lecture : 3 minutes. 

36,400,000

C'est le nombre attendu de civilisations intelligentes dans notre galaxie, selon la célèbre équation de Drake. Au cours des soixante-dix-huit dernières années, nous avons diffusé tout ce qui nous concerne – notre radio, notre télévision, notre histoire, nos plus grandes découvertes – au reste de la galaxie. Nous avons crié notre existence à pleins poumons au reste de l'univers, en nous demandant si nous étions seuls. Trente-six millions de civilisations, et pourtant, en presque un siècle d'écoute, nous n'avons rien entendu. Nous étions seuls.

Jusqu'à il y a environ cinq minutes.

Le Dernier Noël : chapitre 2, le Tunnel


Temps approximatif de lecture : 12 minutes. 

Gerg avançait lentement dans les ténèbres. Il n’y avait aucun bruit hormis celui de leurs pas sur la terre sèche et ils avaient tous l’impression d’avancer dans le vide. Parfois, la faible lumière de leur lanterne parvenait à éclairer les parois, mais Gerg et Phéeal évitaient de le faire. Ils avaient un mauvais pressentiment et Herloak elle-même n’aimait pas les voir. Une espèce de mousse rouge avait poussé sur les pierres lumineuses, ressemblant à un sang opaque et répugnant qui se serait agglutiné pour former des tapis de nervures feuillues. Az le lard ne partageait pas leur dégoût, lui était très curieux et se retenait avec force de toucher la mousse. Il se demandait quelle était sa texture et se concentrer sur cette pensée l’empêchait de penser à sa famille. Il allait certainement passer Noël en tant qu’orphelin, s’il survivait au fungus qui se développait en lui…

La porte à laquelle la Mort ne toque plus


Temps approximatif de lecture : 3 minutes. 

Que l’effervescence habituelle d’un saloon peut être agréable ! Les femmes dansent et jacassent, les hommes, quant à eux, boivent et jouent aux cartes. Les paroles, les rires, les cris auxquels s’ajoutent les sons du piano créent un brouhaha incroyablement chaleureux et convivial.

Mais ce jour-là, le vacarme assourdissant du saloon O’Bryan fut rompu l’espace de quelques secondes, lorsque Klang en passa les portes battantes. Un silence austère et oppressant ne tarda pas à s’installer, et hommes comme femmes baissèrent les yeux devant ce géant de deux mètres. 

Ils ont menti


Temps approximatif de lecture : 3 minutes. 

Ils nous ont dit que c'était la plus grande réalisation technologique de l'histoire de l'humanité. Ils nous ont dit que cela changerait à jamais notre rôle sur la scène cosmique. Ils nous ont dit que cela mènerait à un âge d'or d'exploration, de prospérité et d'expansion.

Ils ont menti.

La pièce sans fenêtre


Temps approximatif de lecture : 4 minutes. 

Alors que ses doigts âgés et ridés se faufilaient dans la longue barbe qui encadrait son visage, le bruit est revenu. Seulement cette fois, il était plus fort.

Il était assis là, penché sur la table en chêne tachée qui était apparue il y a des années, sans explication. Elle était arrivée pendant qu'il dormait, absente la veille, présente le matin suivant. Probablement amenée par des gens d'en haut, avait-t-il déduit. C'est de là qu'il tenait tout. Dans cette pièce sans fenêtre. La seule pièce qu'il n'avait jamais connue en quatre-vingt quatre ans sur cette terre. 

C'était le plan parfait


Temps approximatif de lecture : 1 minute. 

Je lui ferais ressentir tant de souffrance. Je lui arracherais le cœur de sa poitrine. Son insupportable agonie assouvirait enfin la haine brûlante qu’elle a semé en moi tout au long de notre mariage. J’ai souvent pensé à des moyens élaborés de lui infliger une implacable angoisse. Chaque situation plus diabolique que la précédente. 

La souriante inconnue


Temps approximatif de lecture : 7 minutes. 

À aucun moment pendant la nuit elle n’a été à plus de 800 mètres du commissariat, mais le parc était faiblement éclairé, et la route serpentait à travers la forêt dans deux directions. J’ai pris un intérêt personnel dans son histoire après avoir appris comment son corps a été terriblement mutilé. Les détails continuent d’affluer, et je travaille toujours au tri des indices. Ce qui est indubitablement clair, c’est qu’un tueur continue d’errer en liberté. Il est dehors quelque part, et il suit de nouvelles victimes dans le quartier que j’appelle « maison ». Pour cette raison, je ne peux pour l’instant qu’être évasif sur ce que je sais. Révéler certains détails serait me dessiner une cible sur le dos, et ainsi, ils ne peuvent être partagés ici. Maintenant que c’est dit, voici ce que je comprends des faits de cette nuit, celle où « La Souriante Inconnue » est morte.

Comme chien et chat


Temps de lecture : 2 minutes

Il adore les balades en forêt. Je l'y vois souvent, la tête levée en direction de la cime des arbres, sifflotant.

Le garçon marche, marche, marche.
Et un d'un air gai il siffle, siffle, siffle.

Classement annuel 2021

Le moment est venu de vous dévoiler le podium des nouvelles horrifiques de cette année, pour lequel vous avez tout de même été nombreux à voter. Merci pour votre implication dans ce classement, nous espérons qu'il sera à la hauteur de vos attentes !

Libération


Temps de lecture : 2 minutes

Le Docteur était censé créer des êtres parfaits. Mettre au point des surhumains qui ne seraient affectés ni par la maladie ni par la mort. Mais les films de science-fiction vous l'ont certainement appris, jouer à Dieu finit toujours mal. Il n’a fallu que d'un instant, dans notre cas, pour que tout bascule. Un dosage ADN trop peu équilibré aura ainsi été suffisant pour créer des monstres, des exuvies. Dans le langage populaire, on les appellerait des zombies. Mais le Docteur n'a pas abandonné. Il a persisté les essais cliniques sur eux. Effectivement, ils étaient immortels, immunisés aux radiations, à la maladie. L'ADN de plusieurs animaux du monde vivant coulait dans leurs veines. Et visiblement, loin d'en faire des supers-humains, ce procédé n'a rien fait d'autre qu'engendrer des entités violentes, partagées entre plusieurs instincts, plusieurs mondes. Ils dévorent tout ce qui est à leur portée, et ne s'arrêtent que quand ils n’ont plus rien d’autre à lécher que les murs de leur cellule de confinement. Ils sont humains de visage, mais bêtes sanguinaires d'appartenance. À ce stade, et vous en conviendrez, le Docteur aurait dû tout arrêter. Considérer l'expérience comme un échec, éliminer les sujets, et tout recommencer de zéro. Mais il n'en a rien fait. Pire, il semblait pris de fascination pour eux, ces êtres bestiaux ne sachant qu'émettre des borborygmes sourds à la moindre tentative d'interaction.

À ce jour, tout le personnel du laboratoire est mort, et le Docteur avec. L'île qui leur était mise à disposition par le gouvernement est depuis livrée aux bêtes et à leur violence. Le jour de leur évasion, tout s'est passé très vite. Les portes se sont ouvertes simultanément. Les choses sont sorties et ont massacré tout le monde, ne laissant qu'un bain de sang derrière elles. Personne n'a pu arrêter leur folie, et à présent, les voilà maîtresses de leur ancienne prison. Bientôt, le gouvernement effacera chacune de leur trace, et ce sera comme si ni le personnel ni les expériences n'avaient jamais existé. Il fallait de toute façon mettre un terme à ce projet insensé, et c'est avec cette pensée que j'ai appuyé sur l'interrupteur, ce jour-là. Si je ne l'avais pas fait, qui en aurait été capable ? Ils m'ont créé pour ça. Pour réaliser ce qu’eux étaient incapables de faire. Après tout, je suis le numéro 14 Bêta. La seule expérience réussie.

Ce texte est une réécriture produite par Gordjack au terme de l'atelier d'écriture horrifique qu'il a organisé, et se base sur la creepypasta d'un enfant ayant pris part à l'activité. Toute réutilisation, à des fins commerciales ou non, est proscrite sans son accord. Vous pouvez le contacter sur nos plateformes, nous tâcherons de vous y aider si besoin. L'équipe du Nécronomorial remercie également AngeNoire et Kitsune qui ont participé au processus d'analyse et de sélection conformément à la ligne éditoriale, et Magnosa et Noname qui se sont chargés de la correction et la mise en forme.

La fable de l'Épouvantail et de la termite


Temps de lecture : 3 minutes

Sur une terre aride où souffle un vent brûlant dans un monde gris se tenait un épouvantail, seule réminiscence des temps heureux. L’homme de paille, armé de vêtements noirs virevoltants face aux prémices d’une tempête, se lamentait en rêvant des oiseaux qui autrefois se tenaient à ses côtés. Désormais oublié et désolé, la seule vie qu’il croisait était le mouvement des flammes à l’horizon. L’épouvantail souhaitait tant apprendre à marcher pour retrouver le ciel bleu qui lui manquait.

Winslow


Temps de lecture : 6 minutes

Attention ! Nous déconseillons formellement la lecture de ce texte au moins de 18 ans.

« Tu es le plus gros échec de ma vie, Winslow. J’aurais préféré que tu ne naisses jamais. »

Les paroles de ma mère résonnaient toujours de la même manière dans ma tête. Je pensais naïvement que le temps allait faire son office, que les années se succédant me feraient oublier toute la haine qu’avaient mes parents à mon égard. Mais il avait fallu se rendre à l’évidence : la douleur était immuable. Plus mon esprit ressassait cette phrase et plus je m’apercevais qu’elle avait façonné ma vie. Celle-ci n’avait été qu’un enchaînement d’échecs et d’humiliations, ma mère n’avait pas tort.

Le monstre du placard


Temps de lecture : 13 minutes

Il y a deux semaines, j’ai déménagé. Je suis passé du traditionnel 9 m² étudiant à une maisonnette beaucoup plus sympa. J’ai trouvé récemment du travail dans une petite ville, et la baraque est située à sa sortie (ou à son entrée, tout dépend d’où vous venez). Le voisinage y est sympathique et ma propriétaire Mme D*** habite non loin. C’est une vieille femme charmante, bien qu’un peu étrange (du genre patte de lapin à la porte, miroirs recouverts, sauge brûlant régulièrement sur son palier…)

Notre première rencontre a été assez normale. Elle m’avait donné rendez-vous à 10h et avait chaleureusement souri en me voyant descendre de ma petite voiture. Son regard s’était attardé sur mes tatouages, mais rien d’inhabituel pour moi. Elle m’avait précédé à l’intérieur, se signant d’une croix, et avait esquissé une révérence discrète.

Palmarès annuel : les publications de 2021

Cette année, nous renouons avec une tradition qui avait été un peu délaissée, j'ai nommé le palmarès annuel des publications ! Si vous êtes un habitué des blogs, vous savez comment ça se passe, on vous propose de constituer votre top 10 des publications de Creepypasta from the Crypt ainsi que du Nécronomorial, et nous utiliserons ces réponses pour constituer les deux top 10 des publications les plus appréciées de l'année. Vous avez donc jusqu'au 31 janvier, 23h59, pour nous laisser vos tops sur le sondage suivant : https://forms.gle/8RJfWptG2axe9bAz9, les résultats seront publiés au mois de février ! Pour vous permettre de retrouver tous les textes facilement et de vous rafraîchir la mémoire, vous trouverez ci-après la totalité des 53 publications respectives des deux blogs. Merci à toutes les personnes qui participeront !

Résultats du sondage de décembre sur les publications de novembre et sondage de janvier sur les publications de décembre

Nous n'avons pas encore eu l'occasion de le faire dans une publication directe, toute l'équipe de Creepypasta from the Crypt ainsi que sa communauté de membres actifs (que vous pouvez retrouver sur Discord) vous souhaite une bonne et heureuse année 2022 ! Qu'elle soit remplie de ce que vous souhaitez et moins riche en événements difficiles (mais bon, un peu quand même, sinon nous n'aurons plus de fond de commerce). 
 
Comme tous les mois, nous vous proposons de retrouver les résultats du sondage mensuel, qui a été moins rempli que d'habitude (120 votes), mais c'est certainement à cause des vacances et aussi du double-système qui était un peu lourd à remplir. Pas d'inquiétude, nous repassons au format standard pour celui de ce mois-ci, les résultats ayant été peu ou prou identiques sur les deux méthodes et 86% d'entre vous préférant le vote par publication préférée ! Pour nous donner votre avis sur les publications de décembre, c'est par ici : https://forms.gle/y772D3QzwvriLpzY6 et pour les résultats du dernier sondage et nos réponses à vos commentaires, c'est juste en dessous !