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L'ange et l'enfant


Temps de lecture : 3 minutes.

Le ciel s'était noirci, la végétation avait flambé et le sol s'était troué. Ce dernier a vu s'achever une bataille entre les brûlants Enfers et l'Eden constant. Sur cette planète loin de notre monde d'humains, des êtres similaires à nous ont assisté impuissants au choc de ces deux forces supérieures, ravivant la flamme de leur éternel combat.

J'ai pris un auto-stoppeur


Temps de lecture : 5 minutes

Je conduisais dans la campagne du New Jersey quand je l'ai vu. Un auto-stoppeur, debout sur le bord de la route. Étonnamment bien habillé - costume noir, cheveux gominés, mallette serrée.

Je sais que je n'aurais pas dû prendre cet auto-stoppeur à l'air louche aussi facilement. Néanmoins, je mesurais 1m80, je pesais une centaine de kilos et j'avais tout un équipement de chasse à l'arrière de mon véhicule. Ce n'était pas comme si cet homme d'affaires prétentieux pouvait me battre à mort et me jeter ensuite en dehors de ma voiture.

De plus, j'avais besoin d'argent pour l'essence.

Ô macabre océan


Temps de lecture : 2 minutes

Mais qu'ai-je fait pour être là, pourquoi de telles choses peuvent arriver, ô bel océan faiseur de vagues, pourquoi es-tu si cruel ? Pourquoi les créatures marines sont-elles si belles, au point de faire rêver les humains ?

Hier matin, sur les côtes de Brest, j'ai trouvé cette jeune femme aux cheveux salés par la mer, aux habits gris et humides ainsi qu'au teint pâle de froid, accrochée aux rochers bordant l'océan. Le même océan qui s'était déchaîné la veille. Quand je me suis approché d'elle, pensant secourir une malheureuse naufragée, elle m'a pris le bras avec une troisième main sortant de je ne-sais-où. Pour enfin m’entraîner vers les abysses, m'agrippant le torse avec sa gueule aussi dentée qu'une scie.

Martin au cirque


Temps de lecture : 6 minutes

Il tourne et tourne encore. Le cou, la tête et même le dos. Étrange vision, étrange endroit. J’sais plus trop si c’est lui qui déconne ou moi qui suis bourré. J’vois des choses ici. Le chapiteau qui ondule, presque aussi léger qu’une plume… La pluie qui entre à travers la toile. L’orage qui effraie les enfants. Les lions sur la piste. Ils dansent, remuent doucement, trop doucement. Leurs yeux me fixent depuis tout à l’heure, depuis que le clown m’a désigné de son doigt ganté, blanc, immaculé. Son sourire était rouge, et ce qui sortait de sa bouche : de la boue noire. Son rire éclatant a fait hurler mon petit voisin et la musique, alors, a hurlé à son tour. Trompettes tout court ou trompettes de la mort, j’saurais pas dire… Cymbales à tout casser, accordéons essoufflés… Sinistre.