Je m’appelle Thomas, j’ai actuellement 16 ans et, faisons simple, je ne dors plus : je fais partie du club très fermé des insomniaques. Quand on est insomniaque, on ne sait jamais si on est vraiment réveillé ou endormi. La première fois que j’ai fait cette découverte, c’était dans ma chambre il y a quelques mois, je ne savais même plus quand j’avais dormi pour la dernière fois, voire si je l’avais seulement déjà fait récemment. Mes amis ne me reconnaissaient plus, voire s’éloignaient de moi. Ma famille m’a emmené voir tous les spécialistes de Paris mais aucun n’a trouvé pourquoi je ne dormais plus. Et je ne voulais pas essayer de dormir ailleurs que chez moi, tout simplement car c'est l'endroit le plus calme que je connaisse. J'ai donc continué de « dormir » à la maison pendant quelques temps, je dormais 30 minutes par jour, c'était peu, mais je devais tenir, et j'ai tenu. Pendant plus d'un mois, mes 30 minutes m'ont suffi pour vivre. Mais je ne sortais plus, je ne jouais même pas aux jeux vidéo. Je restais dans mon lit. Je ne sais pas comment ça s'est passé, mais il y a 2 semaines, j'ai commencé à avoir des migraines, des picotements dans les jambes, j'étais mal. Pendant 3 jours, je dormais de plus en plus mal et j'avais du mal à bouger mes jambes. Mais tout a vraiment pris un autre tournant il y a 5 jours.
Je ne pouvais plus fermer les yeux. C'était impossible, ça me déchirait la paupière à en saigner.
On m’a emmené dans un hôpital, j'ai été mis en quarantaine, mais j’avais bien moins de calme que chez moi. Chaque spécialiste se pressait pour me voir, voulant trouver ce que j’avais pour avoir leur nom sur ma maladie inconnue. Deux jours de traitements et d’insomnie pure, de découragement de la part des scientifiques, et aussi deux jours pendant lesquels j'ai commencé à halluciner ainsi qu’à avoir des maux de tête et une forte envie de frapper un à un tous ces incapables de médecins.
Apparemment, c’était un virus très contagieux, mais je restais le seul cas et personne ne pouvait rien faire. Je ne pourrais plus jamais dormir : à la place, pour évacuer une part de fatigue, d’énervement et de douleur, je pleurais, toutes les nuits.
À force, mes paupière se sont arrachées, mais de toute façon, je n’en ai plus besoin.
Il y a encore peu de temps, j'ai commencé à voir rouge, du sang sortait de mes yeux... Quelques heures plus tard, j'étais aveugle. Mais je m'en fichais, j'allais mourir. Il est 11 heures et les cloches de Paris sonnent, je pense que c'est mon dernier jour. Je n'ai pas dormi depuis 1 semaine, je ne pourrai plus dormir, il faut que je me fasse une raison.
Je souffre, mes yeux se sont infectés, les médecins disent que je développe une sorte de gangrène qui, dans quelques heures, atteindra mon cerveau... Je mourrai alors dans d'horribles souffrances, des convulsions, etc...
Je suis en train de m'en aller, je suis paralysé, je ne peux plus bouger, adieu, je veillerai sur vous... de là-haut. Je vois les scientifiques paniquer, la fiole contenant mon virus est tombée.
Comme c'est dommage, ainsi le monde ressentira la souffrance de ne plus pouvoir dormir. Vous me rejoindrez alors là-haut.
On m’a emmené dans un hôpital, j'ai été mis en quarantaine, mais j’avais bien moins de calme que chez moi. Chaque spécialiste se pressait pour me voir, voulant trouver ce que j’avais pour avoir leur nom sur ma maladie inconnue. Deux jours de traitements et d’insomnie pure, de découragement de la part des scientifiques, et aussi deux jours pendant lesquels j'ai commencé à halluciner ainsi qu’à avoir des maux de tête et une forte envie de frapper un à un tous ces incapables de médecins.
Apparemment, c’était un virus très contagieux, mais je restais le seul cas et personne ne pouvait rien faire. Je ne pourrais plus jamais dormir : à la place, pour évacuer une part de fatigue, d’énervement et de douleur, je pleurais, toutes les nuits.
À force, mes paupière se sont arrachées, mais de toute façon, je n’en ai plus besoin.
Il y a encore peu de temps, j'ai commencé à voir rouge, du sang sortait de mes yeux... Quelques heures plus tard, j'étais aveugle. Mais je m'en fichais, j'allais mourir. Il est 11 heures et les cloches de Paris sonnent, je pense que c'est mon dernier jour. Je n'ai pas dormi depuis 1 semaine, je ne pourrai plus dormir, il faut que je me fasse une raison.
Je souffre, mes yeux se sont infectés, les médecins disent que je développe une sorte de gangrène qui, dans quelques heures, atteindra mon cerveau... Je mourrai alors dans d'horribles souffrances, des convulsions, etc...
Je suis en train de m'en aller, je suis paralysé, je ne peux plus bouger, adieu, je veillerai sur vous... de là-haut. Je vois les scientifiques paniquer, la fiole contenant mon virus est tombée.
Comme c'est dommage, ainsi le monde ressentira la souffrance de ne plus pouvoir dormir. Vous me rejoindrez alors là-haut.
L'auteur n'a pas signé ce texte.
Super sympa de la redécouvrir ! Juste un point : il dit devenkr aveugle, et pourtant, à la fin, il dit voir les scientifiques faire tomber la fiole.
RépondreSupprimerDevenir*
SupprimerIl est mort, et c'est son esprit qui voit cette scène ^^
SupprimerCe commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerC'est trop triste ������
RépondreSupprimer:'( :'( :'(
SupprimerIl y'a une faute a la fin, il manque un "s" a "scientifiques.
RépondreSupprimerJe tiens à saluer les compétences exceptionnelles du médecin qui a lâché la fiole, libérant ainsi une merde qui réduira sûrement la population terrestre d'un quart ou d'un tiers
RépondreSupprimerC'est pas vrai, hein.
SupprimerC'était ironique, hein.
Supprimer"layreur é tumén nn ?"
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