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Les gens lèvent rarement les yeux
Les brumes de sang : Le cas du 216 Portstreet, partie 1
Temps approximatif de lecture : 13 minutes.
Autres chapitres : - Les brumes de sang : Le Hiérophante
- Les brumes de sang : Le cas 216 Portstreet, partie 2
- Les brumes de sang : Le cas 216 Portstreet, partie 3
- Les brumes de sang : Le terrier du lapin
Londres, 4 octobre 1920
Lili rentre dans son appartement, un confortable logement de fonction offert par l’organisation. Elle n’y passe pas beaucoup de temps, ce qui explique le manque de décoration et l’aspect très utilitaire qui se dégage de l’endroit. Il y a cinq pièces : une cuisine, une chambre et une salle de bain, évidemment, avec un salon ainsi qu’un bureau. L’épaisse couche de poussière qui recouvre le sol témoigne du peu de monde voyant ce, pourtant chouette, petit nid. Jetant son sac dans l’entrée, elle va se faire cuire rapidement de quoi calmer son estomac. La dernière affaire avait été éprouvante, une sombre histoire de harpie qui enlevait des gamins… Dieu merci, ils ont pu être retrouvés et sauvés et retrouvés à temps. La créature, passée par le fil d’un bon gros calibre 12 incrusté de glyphes purificatrices.
Le repas étant prêt, l’agent apporte alors son assiette dans le bureau. La solide porte de bois est constamment verrouillée et incrustée de runes obscures. Des symboles occultes crépitant d’une énergie invisible, fais pour interdire l’accès aux curieux et aux créatures de la nuit. Lili pose sa main sur la poignée et cette dernière tourne seule, avant d’ouvrir l’entrée.