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Impitoyable secret du cœur,
Douce étreinte funeste,
Mon âme à jamais se meurt,
Désarticulée et singulièrement brisée,
Jamais je ne disparais, même divisée,
Je suis sans être et demeure muette,
Le juge observateur des âmes désuètes.
Réanimée et transcendée,
J’attends seule mes derniers instants,
Dans la mélancolie d’une mort inavouée,
D’une rage cruelle sans équivalent.
Jusqu’au jour où enfin,
Armée de ma haine et de ma peine,
Viendra mon dernier jugement.
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Belle illustration ! :D
RépondreSupprimerC'est chouette les poésies
RépondreSupprimerC'est beau
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